Encore un oiseau (décidément…) avec pour changer des passereaux, un bihoreau gris (Nycticorax nycticorax) juvénile, qui est passé très près de l’observatoire où je me trouvais et fut très coopératif, le temps d’une séance photo ! Le bihoreau, héron court sur pattes et au cou épais, fait parti de ces espèces qui voient leur milieu naturel disparaître au fil du temps, engendrant un déclin progressif de leurs populations. Populations qui dépendent des zones humides que l’homme s’acharne à détruire ou à faire disparaître indirectement, avec la pollution et le réchauffement climatique…
Désolé de vous saper le moral d’entrée 😀 mais il faut, je pense, rappeler encore et toujours que la nature n’est pas inépuisable et reste fragile ! Et la photographie est un outil de communication indispensable pour celà.
J’en profite pour m’excuser de la longue coupure dont mon blog a été victime ce jour (dûe à une coupure électrique), et pour dès à présent annoncer l’imminente sortie de deux prochains billets qui intéresseront, je pense, certains de mes lecteurs les plus assidus 😉