Comme certains le savent, nous sommes éleveurs de chats depuis maintenant 7 ans (activité secondaire qui m’amena à la photographie). L’élevage est une activité où l’on se prend parfois à « jouer à Dieu », en choisissant de donner la vie à des animaux selon nos propres critères : beauté, caractère, santé…
Ce sont aussi des moments de tendresse, de bonheur, d’émotion, de douleur et de tristesse… Notre aventure a débuté un jour de janvier 1999, un soir où nous avions décidé de rendre visite à un éleveur de maine coons (la plus grande race de chats de races reconnue en France) en région parisienne. Ce jour-là, nous vîmes pour la première fois Patoon’s, une femelle qui n’avait que quelques jours et sur laquelle nous avions littéralement flashé ! Cette petite boule de poils, avec ses plumets aux oreilles comme un lynx, allait devenir notre premier chat de race !
Ce fut le début d’une longue aventure, qui continue encore aujourd’hui, mais qui est marquée par un événement dont j’ai encore du mal à me remettre. Ma chère Patoon, la « Toon », « Madame bon poil » comme on l’appelait, du fait de son caractère en fer forgé, nous a quitté prématurément, atteinte d’un cancer qui l’a foudroyée en quelques semaines 🙁
À CONSULTER ÉGALEMENT : Pour en savoir plus sur photographier les chats…
Aujourd’hui, je me repose alors une question : Va-t-on trouver la force de continuer cette activité qui nous tient tant à coeur ?… La vie succède à la mort, mais j’ai encore bien du mal à expliquer à Alexis – bientôt 7 ans – pourquoi Patoon’s nous a quitté si tôt…
bonjour, j’ai moi meme perdu une de mes siamois, Bushi ,de santé fragile je l’ai soigné pendant les 18 mois de sa courte vie, la maladie crait des liens different avec son chat, il sait montrer sa gratitude et son décé fait d’autant plus mal. elle est morte d’une maladie que vous devez connaitre l’ameloïdiose.
avec beaucoup de retard, courage.
philippe
Bonjour Philippe
Il est vrai que parfois les maladies félines (ou canines ou même équines, ne soyons pas "sectaires" !) réservent de mauvaises surprises… Et parfois nous passons à côté de diagnostics "évidents" qui une fois révélés, sauvent le chat en quelques jours (bien souvent ce n’est d’ailleurs pas le vétérinaire qui trouve la solution, mais je ne leur en veux pas car je sais combien leur métier est difficile !)
Et parfois, de simples granules homéopatiques* font beaucoup mieux que de lourds traitements (vécu chez nous).
* D’un naturel cartésien, je crois à l’homéopathie, mais je repense toujours au nombre d’Avogadro qui hanta mes cours de chimie et qui me rappelle à chaque commande de médicament les limites de dilution à ne pas dépasser 😉
bonjour cedric,
oui c’est vrais les veterinaires ont besoin de nos don d’observation, nos petites pepettes ne pouvant parler (quoi que, les siamois sont bavards), par contre bien qu’étant tres "nature" je ne m’y connais malheureusement pas en homeopatie
philippe