Cette très jeune chevrette, d’âge je pense limite pour être appelée chevrillard (terme désignant les jeunes chevreuils âgés de 6 mois à 1 an), m’a néanmoins semblée bien grande pour un faon, et bien petite pour une jeune adulte… d’où mon titre je l’admets un peu douteux ! Accompagnant sa mère à l’orée des bois de Bailly, à quelques centaines de mètres de chez moi seulement, elle grignotait les épis de blés ayant échappé aux dents de la moissonneuse fraîchement passée.
Chaque soir quand j’en ai le temps, il m’est possible d’aller observer le petit groupe dont cette jolie femelle fait partie, ce qui me permet de réaliser régulièrement quelques « essais » avec diverses techniques de camouflage, dont l’une fera l’objet d’un fameux article à venir (texte finalisé, me manque seulement quelques photos pour l’illustration des mots !)
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