Comment sécuriser sa photothèque en 2025 ?

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La photographie numérique fait désormais partie de notre quotidien, et le stockage et la sécurisation des images est un véritable défi pour de nombreux photographes, qu’ils soient professionnels ou amateurs. Les plus aguerris ont vite compris les enjeux inhérents aux sauvegardes des fameux fichiers, qui s’ils permettent une infinité de copies, peuvent aussi très (trop) facilement être perdus à jamais, si un grain de sable vient enrayer la minutieuse mécanique de votre workflow de photographe !

Pour effectuer des sauvegardes fiables sans tomber dans l’excès, voici une méthode parmi d’autres, basée sur ma longue expérience… et mes erreurs !

Les différents supports possibles

À CONSULTER ÉGALEMENT : Pour en savoir plus sur la gestion de photothèque

Les images numériques se gèrent comme n’importe quel fichier informatique au sens large. Leur sauvegarde peut donc s’effectuer sur à peu près tous les supports disponibles à ce jour en matière de stockage de données. Nous sommes aujourd’hui face à une quantité incroyable de stockages possibles, avec des tarifs qui rendent désormais abordables les plus performants et fiables d’entre eux, à l’image des SSD.

Il convient néanmoins de relativiser et de ne pas systématiquement vous conseiller les plus coûteuses solutions : il s’agit avant tout de vous aiguiller vers les moyens adaptés à votre usage !

Type de supportAvantagesInconvénientsCoût*
Disque dur classique (HD)Bon marché
Capacité de stockage jusqu’à 26 To (!)
Fragilité relative
Performances moyennes
€-€€
SSDCapacité de stockage jusqu’à 8 To
Performances très élevées
Onéreux au delà de 2 To
Nécessite une connectique récente si externe
€€€
Clé USBSolution « facile » et mobile
Performances élevées…
Stockage jusqu’à 2 To seulement
…mais dépendantes de la connectique
€€
BlurayStockage/disque important
En théorie inaltérable
Lecture seule (uniquement sauvegarde)
Lenteur d’écriture
Sauvegarde pas automatisable
Cloud (en ligne)Espace sécurisé et accessible partout
Sauvegardes facile à automatiser
Espace parfois limité
Coût très dépendant du prestataire
€-€€
* Coût pour 1 To

Vous l’avez compris, le meilleur pour le photographe (amateur comme professionnel) est sans aucun doute une solution basée sur un mix de plusieurs supports, que l’on pourra adapter selon votre budget.

Si ce dernier est limité, optez tout de même pour un SSD comme disque de travail : le confort apporté à l’usage est sans commune mesure par rapport à un disque dur classique (bon entre nous : qui utilise encore un ordinateur avec un disque classique en 2025 ?…)

Pour ma part, aujourd’hui j’utilise un PC portable relativement haut de gamme (Ryzen 9 récent, 32 Go de RAM, carte graphique RTX 8 Go, écran 4K OLED, SSD interne ultra performant de 1 To…) et mon disque de travail est un SSD externe en USB-C 3.2 (un Crucial X10 Pro 4 To, permettant un débit jusqu’à 2100Mo/s)

Si vous n’êtes pas comme moi très mobile et que vous avez un PC ou un Mac de type desktop, optez pour un second SSD interne : ils sont de nos jours abordables, et extrêmement performants.

Organisation physique du matériel

Il ne s’agit pas d’exposer des solutions « haut de gamme » mais de proposer une organisation simple et efficace permettant de pallier aux problèmes les plus courants rencontrés engendrant des pertes de données : pannes matérielles, supports devenant illisibles, mauvaises manipulations (ne rigolez pas, ça m’est déjà arrivé !), éventuellement virus informatiques (dans une moindre mesure car si on utilise les logiciels adéquats, le risque reste faible), etc.

Pour pallier ces problèmes, la règle est simple : il faut absolument avoir à tout instant, chaque fichier AU MOINS en deux exemplaires sur deux supports physiques différents ! Pour cela, j’utilise une organisation basée sur 2 disques durs (extensible bien entendu) : ces deux disques physiques, chez moi un SSD externe de travail et un NAS accessible via mon Wifi local (Wifi 6 donc performant), sont synchronisés de manière unidirectionnelle automatiquement ou à la demande. La probabilité que ces deux disques tombent en panne simultanément est proche de zéro et limite fortement les risques de pertes de données, d’autant que le NAS synchronise dans le cloud la nuit.

Organisation des disques de sauvegarde autour du poste de travail

L’importance des typologies de connectiques revêt une importance capitale si vous voulez avoir de bonnes performances à l’usage. Pour les disques de travail, SSD et connectique récente obligatoires !

Pour le NAS, une compatibilité Wifi 6 (si vous êtes de la team « sans fil » comme moi) ou à défaut un réseau 1 Gbits/s sont nécessaires pour ne pas passer de trop longues minutes à réaliser vos transferts. Enfin, pour la sauvegarde Cloud, une connexion fibre est fortement conseillée étant donnée la volumétrie que les photos peuvent représenter…

Workflow et organisation au niveau utilisateur

Avoir du matériel c’est bien, l’utiliser correctement pour garantir la pérennité des données, c’est mieux ! La première étape se joue lors du déchargement des fichiers dans l’ordinateur (depuis l’appareil photo ou depuis un lecteur de carte, peu importe).

Les 4 étapes du workflow

(1) Déchargement des images sur l’ordinateur : j’utilise pour ma part le dossier « Mes images » de Windows (aisément accessible depuis l’explorateur, rapide, et accessoirement c’est fait pour !). Je procède alors à un premier tri sur mes fichiers RAW AVANT DE VIDER/FORMATTER MES CARTES. Il ne faut jamais oublier que les images doivent impérativement exister sur au moins deux supports physiques durant toute la phase de manipulation ! S’il y a relativement peu d’images je procède directement au post-traitement lors de cette étape.

(2) Copie de sauvegarde des fichiers RAW (et éventuellement des images post-traitées) sur le disque de sauvegarde : Cette opération suit le premier tri (et le post-traitement s’il a eu lieu à l’étape précédente) des images. Une fois que les fichiers existent sur les deux disques internes, on peut envisager le formatage des cartes mémoires.

À partir de là on peut envisager de retravailler sur les images, refaire des tris, etc… et une fois le travail validé, recommencer l’étape (2) en synchronisant les deux disques locaux (toujours dans le sens disque de travail => disque de sauvegarde). Il faut noter que durant cette phase, il existe un risque de perte des données (minime certes) par virus ou grosse panne de la machine (foudre par exemple).

(3) Copie de sauvegarde des fichiers RAW et images post-traitées dans le Cloud : Cette étape est primordiale dans le sens où elle doit permettre de créer une « image » du disque secondaire interne. À noter que si vous avez un disque de travail avec une capacité inférieur à votre espace de sauvegarde, il est tout-à-fait possible de libérer de l’espace sur ce dernier, par exemple sur des images anciennes que vous ne réutiliserez que de manière très ponctuelle.

(4) Accès à l’espace Cloud depuis vos appareils (personnellement smartphone et ordinateurs) : pour ainsi dire tous les prestataires de stockage Cloud proposent désormais ce genre de fonctionnalité. C’est extrêmement pratique pour retrouver rapidement une photo quand vous êtes en déplacement ! Bien entendu, si vous utilisez Lightroom avec l’espace Cloud Adobe (ce que je ne fais pas personnellement, n’ayant pas de tablette), vous n’aurez pas nécessairement besoin de cette fonctionnalité.

Durant toute ma carrière de photographe pro, j’ai consécutivement utilisé divers systèmes de sauvegardes (au départ CD-ROM avec disque dur classique, puis DVD avec disque dur classique + NAS, puis uniquement des disques, puis uniquement des SSD + NAS ! Chaque époque apporte son lot de nouveautés, et il ne faut pas rater le « virage » technologique, au risque d’un jour, ne plus pouvoir lire vos supports de sauvegarde.

Organisation des répertoires

En terme d’organisation au niveau répertoires, je fonctionne aujourd’hui en me calquant sur le fonctionnement d’Adobe Lightroom tel que je l’ai paramétré à l’origine :
Mes images/<année>/<année-mois>/<année-mois-jour>

Ainsi, Lightroom crée automatiquement les dossiers lorsque vous importez vos images, ce qui permet d’avoir une structure chronologique simple. Pour mémoire, dans Lightroom on utilise les données IPTC et surtout les collections pour classifier les images thématiquement. Ne perdez pas de temps à créer des dossiers physiques pour vos images !

Gestion logicielle des étapes de sauvegarde / synchronisation entre disques

Vous vous doutez bien que je ne procède pas manuellement 🙂 et qu’il existe des petits logiciels pour faire ce genre de choses ! Pour ma part j’utilise SyncBack Lite (renommé SyncBack Freeware depuis sa dernière version). En réalité, chaque étape est « matérialisée » sur mon bureau Windows par une icône, qui lance le processus de sauvegarde selon mes propres critères (copie pure et dure, ou synchronisation de répertoires).

Il ne s’agit pas d’écrire ici un tutoriel pour l’utilisation de ce petit logiciel fort efficace (il en existe en anglais ici) mais juste de vous en décrire le fonctionnement (nb : j’ai laissé les captures d’écran de l’ancienne version, le logiciel n’ayant pas foncièrement changé en 15 ans !)

Écran principal du logiciel SyncBack
Écran principal du logiciel SyncBack

Ce petit programme permet de créer des profils de sauvegarde ou de synchronisation de répertoires de manière très aisée, en créant ses propres règles et en ayant la possibilité de définir (grâce au planificateur de tâches intégré à Windows) des sauvegardes automatiques à intervalles et heures données. Personnellement j’exécute mes profils à la demande, ce qui permet de ne rien laisser passer (mais demande un peu d’organisation !)

Exemple de profil dans SyncBack
Exemple de profil dans SyncBack

Astuce : Il est possible d’exécuter un profil via un raccourci Windows plutôt que de lancer SyncBack à chaque fois et de choisir son profil. Pour créer un raccourci sur le bureau Windows, il suffit de dupliquer le raccourci de SyncBack créé à l’installation et de modifier la cible comme suit : "C:\Program Files\2BrightSparks\SyncBack\SyncBack.exe" -m "ici le nom de votre profil"

Modification du raccourci sur le bureau Windows
Modification du raccourci sur le bureau Windows

Il existe bien évidemment d’autres logiciels pouvant remplacer SyncBack ; ce dernier ayant l’avantage d’être gratuit et très simple d’utilisation !

Petit résumé et améliorations envisageables

Je vous ai présenté brièvement l’organisation de mes sauvegardes, donc voici un petit résumé :

  • Fonctionnement matériel basé sur 2 disques durs physiques dont un NAS + une sauvegarde Cloud
  • Organisation de manière à toujours avoir au moins deux exemplaires de chaque fichier à tout instant
  • Utilisation d’un logiciel de sauvegarde/synchronisation pour faciliter le processus de transfert entre disques

En terme d’améliorations, on peut bien évidemment intégralement automatiser les sauvegardes, chose que je n’ai personnellement pas fait puisque je travaille avec un PC portable et un SSD externe en guise de disque de travail (avec une machine fixe, ce serait beaucoup plus facile)

À noter qu’Amazon Photos permet d’automatiser totalement la sauvegarde Cloud, moyennant l’installation de leur application (avec possibilité de synchronisation automatique sur l’ensemble de vos appareils !)

Sécuriser sa photothèque

Questions/réponses sur la sécurisation des photothèques

Comment sécuriser sa photothèque ?

La sécurisation d’une photothèque repose sur une méthode simple : toujours conserver chaque photo sur au moins deux supports différents. L’idéal est de combiner un disque SSD rapide pour le travail au quotidien, un NAS pour la sauvegarde locale, et un espace de stockage en ligne comme le Cloud pour la redondance à distance.

Quel type de disque utiliser pour stocker ses photos ?

Le disque SSD est aujourd’hui la meilleure solution pour stocker et traiter ses photos rapidement. Il est plus fiable et beaucoup plus rapide qu’un disque dur classique. Pour l’archivage à long terme, un second SSD ou un NAS reste pertinent, à condition de le synchroniser régulièrement.

Est-ce utile de sauvegarder ses photos dans le Cloud ?

Oui, sauvegarder ses photos dans le Cloud permet de les protéger en cas de vol, de panne ou de perte des supports physiques. Des services comme Amazon Photos, iCloud, Dropbox ou Google Drive offrent des solutions pratiques pour automatiser cette sauvegarde et y accéder depuis n’importe quel appareil.

Comment organiser ses dossiers photos efficacement ?

La meilleure organisation consiste à classer ses photos par date, dans des dossiers structurés par année, mois et jour. Cette méthode fonctionne parfaitement avec les logiciels comme Adobe Lightroom, qui offrent des possibilités de classification thématiques virtuelles n’altérant pas le stockage chronologique.

Pourquoi utiliser un logiciel de sauvegarde automatique ?

Un logiciel de sauvegarde comme SyncBack permet d’automatiser les copies de fichiers entre vos disques. Cela évite les oublis et garantit que vos images sont toujours dupliquées sans intervention manuelle, ce qui renforce la sécurité de votre photothèque.

Est-ce risqué de ne stocker ses photos que sur un seul support ?

Oui, c’est très risqué. Un disque peut tomber en panne, être perdu ou corrompu. Si vos images ne sont stockées qu’à un seul endroit, vous pouvez tout perdre. Il est essentiel de toujours avoir une seconde copie, idéalement sur un autre support physique ou dans le Cloud.

Que faire avant de formater une carte mémoire d’appareil photo ?

Avant de formater une carte mémoire, il faut absolument vérifier que toutes les images ont bien été copiées sur deux supports distincts. Ne jamais formater une carte tant que les fichiers n’ont pas été sauvegardés et validés.

Un NAS est-il utile pour un photographe amateur ?

Oui, un NAS est utile même pour un amateur, car il permet de centraliser les sauvegardes sur un serveur local sécurisé. Couplé à une synchronisation automatique dans le Cloud, il offre un excellent niveau de protection à un coût relativement abordable.

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16 réflexions sur “Comment sécuriser sa photothèque en 2025 ?”

  1. Avatar de Pascal B.
    Pascal B.

    Merci pour ce billet fort instructif Cédric. Je ne connaissais le logiciel de sauvegarde dont tu parles. Je l’ai téléchargé et je vais le tester de ce pas 😉

    Répondre
  2. Avatar de globox
    globox

    Merci pour ce tuto pour la gestion des sauvegardes. C’est vrai que l’on entend tout et (n’importe quoi !?!)… Pour ma part, j’ai 2 DD, un externe en IDE et un interne en SATA. Les photos sont copiées sur 3 DVD + une fois par an sur le DD externe. Mais j’ai toujours 2 types de supports différents (DD + DVD).

    Bravo pour le tuto et merci !

    Séb (Suisse)

    Répondre
  3. Avatar de Pilou
    Pilou

    Salut,

    Très sympa cet article, surtout sur les softs qui automatisent les sauvegardes.

    Pour ma part j’utilise un ordinateur qui ne tourne pas beaucoup et qui a la chance d’avoir une carte mère muni d’un controleur RAID.

    J’ai branché 2 DD 250Go en RAID1.

    Ce n’est pas forcément un solution couteuse car un controleur RAID PCI coute entre 30 et 50 €. Mais bien sur il faut 2 DD…

    L’interet du RAID1 c’est bien sur d’avoir les données copiées sur 2 disques simultanément. si l’un crash, on le remplace et on a tous sur le second. 🙂

    Cordialement,
    Kaimite.

    Répondre
  4. Avatar de Kaimite
    Kaimite

    Bonjour,

    Tout à fait d’accord avec toi, d’ailleurs je viens d’en faire l’expérience.

    Je voulais faire une sauvegarde mais il y en avait pour 1h de copie alors je me suis dis, pas grave, je le ferais plus tard.

    Et ce w-e le rack de mon disque a laché, pas le disque, juste le rack. Mais quand, dans le poste de travail, mon disque de photo n’est plus apparu je me suis fait la peur de ma vie (40Go de photos) !!!

    Donc maintenant je recherche un logiciel de synchronisation pour automatiser la sauvegarde sur un HD USB Externe et le RAID pendant la nuit ! 🙂

    En décalant de qques jours les deux sauvegardes.

    Mais je cherche une synchronisation, pas un copie brutale. Mettre a jours les nouveaux fichiers histoire de ne pas avoir à recopier les XXGo tous les soirs !

    Merci pour cet article, il va m’etre bien utile 🙂

    Cordialement,
    Kaimite

    Répondre
  5. Avatar de cryoglobe
    cryoglobe

    Salut

    Il y a un tres bon software pour les synchro de disque / répertoires.

    C’est "ViceVersa" .. ok , c’est pas un soft gratuit
    mais il est super puissant

    Scheduling pour batch a des heures précis
    Avec ou sans historique
    Mirroring
    Synchro avec archivage
    etc etc

    Le lien direct ( essayez la démo de 30 jours ):
    www.tgrmn.com/

    -> 29.95$ pour la version PLUS
    -> 59.95$ pour la version PRO

    et pour une vue comparative entre les deux versions : www.tgrmn.com/web/popup/f…

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  6. Avatar de Kaimite
    Kaimite

    Bonjour,

    Merci pour l’info 🙂

    Kaimite

    Répondre
  7. Avatar de FMJ
    FMJ

    Salut

    Je suis agréablement surpris que tu utilises cet excellent outil qu’est SyncBack.
    Je l’utilise pour ma part depuis plusieurs années avec un niveau de satisfaction jamais démenti (après un benchmark assez exhaustif des autres softs de backup).

    Conseil : Après l’avoir essayé (et adopté), n’hésitez pas à prendre la version payant. C’est pas cher et cela permet de supporter son développeur qui reste ainsi extrèmement réactif en terme de patchs et évolutions.

    (je précise que je n’ai pas d’action dans la boîte :o) )

    Répondre
  8. Avatar de Seb
    Seb

    Un risque non negligeable facile a "couvrir" est le vol du PC + des disques externes ou incendie de l’appartement.
    Perso, j’applique la methode expliquée ci dessus, a la difference que le HD externe est au bureau… sauf pour faire les backups bien sur.

    Répondre
  9. Avatar de zorbec le gras
    zorbec le gras

    Félicitations pour la qualité de votre site en général, et remerciement en particulier pour vos conseils de sauvegarde que j’applique maintenant à la lettre.
    J’ai découvert à cette occasion Syncback qui répond parfaitement à mes besoins.

    Bien cordialement.

    Répondre
  10. Avatar de Cédric Girard
    Cédric Girard

    Juste pour info, j’ai évolué vers deux disques systèmes (l’un pour les applis/Windows/données de travail, l’autre, plus petit, pour les fichiers d’échange afin d’optimiser les performances du système)

    Et j’ai rajouté une paire de disques pour les données (320 Go interne + 320 Go externe) !

    Répondre
  11. Avatar de joel
    joel

    ok sur toute la ligne…
    mais je préconise un lieu de stockage principal
    plus "court" (ex: c:\photos ou autre)
    car dans \Mes Documents\Mes Images cela donne dans les recherches ou autres visu des noms de fichier très long!
    ex.: C:\Documents and Settings\Administrator\Mes Documents\Mes Images\2006\Vacances\

    Répondre
  12. Avatar de babas
    babas

    Bonjour,
    je viens de lire cet article. On est tous confrontés au même problème.
    Pour ton info, javais auparavant un systeme RAID 5 que j’ai revendu pour plusieurs raison :
    – C’est vraiment hors de prix, la carte controlleur, les disques de meme capacité (au moins 4 ou 5) …
    – C’est une solution pour entreprise,odnc les disques (SCSI pour ma part) sont vraiemnt trop bruyant. Il faut absolument avoir un 2eme PC pour les y installer.
    – Il reste un maillon de la chaine qui peut ruiner tous ces beaux efforts : la carte controlleur. Si elle lache on perd les données de tous les disques !

    Donc aujourd’hui j’ai la meme config que toi :
    – 1 HDD interne systeme
    – 1 HDD interne data
    – 1 HDD externe data

    Sinon, c’est vraiment un superbe site… bravo

    Répondre
  13. Avatar de Matthieu
    Matthieu

    Bonjour Cédric,

    Je ne sais pas si tu suis tous les messages.
    Suite à ce billet, je me permet de te poser une question.
    Est ce que tu traites systématiquement tous tes fichier RAW.
    En gros sauvegardes-tu certains fichier uniquement au format RAW ?
    Merci d’avance.

    Matthieu

    Répondre
  14. Avatar de Cédric Girard
    Cédric Girard

    Bonsoir Matthieu

    Effectivement, certaines images "secondaires" mais techniquement correctes sont uniquement stockées en RAW chez moi.

    Quoi qu’il en soit, le RAW est le format absolu à conserver, car un JPEG ou un TIF est lui, régénérable à partir du RAW (et pas l’inverse !)

    Répondre
  15. Avatar de Matthieu
    Matthieu

    Merci Cédric pour ta réponse.
    Je me posais cette question en pensant à l’utilisation du RAW dans les années futurs (compatibilité avec logiciel…)

    Merci encore.
    @+

    Matt

    Répondre
  16. Avatar de joel brueziere
    joel brueziere

    Merci pour ces infos.
    Pour ma part je classe les photos dans des répertoires:

    /photos/france/haute-savoie/chamonix/20080721-pointe-verte
    /photos/suisse/lac-leman/20080820-oiseaux-goeland

    ainsi l’on peu utiliser la recherche de fichiers standard

    Répondre

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