HOME, le film…

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Suite à la diffusion mondiale du film HOME, de Yann Arthus-Bertrand, de nombreuses réactions émergent sur un web toujours plus surprenant… Je suis pour ma part SIDÉRÉ de voir tant de négativisme et de critiques gratuites, peut-être vraies quant à la nature du documentaire (utilisation d’un hélico, financement par de grands groupes très certainement pollueurs, j’en passe et des meilleures) !
L’important est-il de se demander comment le film a été produit et par qui ? ON S’EN FOUT !!! Tous les photographes animaliers, amateurs ou professionnels, sont parmi les mieux placés pour voir que ce film, malheureusement, ne révèle que de tristes vérités et que le minimum que puisse faire un photographe comme YAB, est de dénoncer et démontrer que nous sommes tous en train de détruire ce qui nous fait vivre. Une heure quarante minutes pour se souvenir de ce dont l’homme est capable…
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Ce film, magnifique, ne doit pas être la source de critiques acerbes envers un homme ou un groupe financier : ce film est quelque part une propagande, les message y sont quelque peu simplifiés, et il a été financé par d’immondes capitalistes. On le sait et… on s’en fout car ce n’est pas le fond du problème ! Non, HOME dénonce simplement une réalité dramatique et annonce un futur que j’aimerais personnellement éviter, au travers d’images somptueuses et d’un monologue on ne peut plus clair et parfaitement documenté…
Pour ma part, depuis 2008 j’ai fait le choix de « compenser carbone » tous les déplacements liés à mon activité photographe, toute la consommation électrique de mon foyer, et l’entreprise que j’ai créé fin 2008 suit également la même voie. Une goutte d’eau dans un océan, qui n’excuse en rien la pollution inévitable que je produis chaque jour en allant travailler, victime d’un système économique que j’espère un jour voir changer…
PS : inutile de me poster le lien vers l’article de Libération écrit par un certain Monsieur Gran, qui n’a de grand que la connerie éloquente de ses propos, d’un dogme programmé et dépassé et que l’on sent issu d’une nauséabonde élite littéraire néo réactionnaire de second rang : un « écrit vain », comme tant d’autres !

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